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Sommaire

SYNOPSIS du film Harry Potter à l’Ecole des Sorciers

Harry Potter, un jeune orphelin, est élevé par son oncle Vernon et sa tante Pétunia qui le détestent. Alors qu’il était haut comme trois pommes, ces derniers lui ont raconté que ses parents étaient morts dans un accident de voiture. Le jour de son onzième anniversaire, Harry reçoit la visite inattendue d’un homme gigantesque se nommant Rubeus Hagrid. Celui-ci lui révèle qu’il est en fait le fils de deux puissants magiciens et qu’il possède lui aussi d’extraordinaires pouvoirs.

C’est avec joie que le garçon accepte de suivre des cours à Poudlard, la célèbre école de sorcellerie. Il a enfin la chance de se faire des amis. Blâmé par le professeur Severus Rogue qui lui enseigne les potions et protégé par Albus Dumbledore, le directeur de l’établissement, Harry va tenter d’élucider le mystère de la pierre philosophale.

Le phénomène Harry Potter arrive dans nos salles de cinéma et il va vite falloir s’habituer à ce petit binoclard roi de la magie puisque la Warner ayant vite compris qu’elle avait entre ses mains la poule aux œufs d’or. A l’instar de la Fox avec Star Wars ou de Paramount avec ses Indiana Jones, Warner a déjà mis en chantier le tournage du deuxième opus et ce n’est pas moins de 7 films qui devraient voir le jour (autant d’adaptation des livres écrits et futurs signé J. K. Rowling). Les résultats époustouflants du premier épisode au box-office américain (le film est en train d’y battre tous les records) ne font que conforter que l’ère cinématographique d’Harry Potter vient tout juste de commencer.

Le film Harry Potter à l’école des soricers

Parce que Harry Potter constitue un véritable phénomène de société, plutôt appréciable d’ailleurs puisqu’il permet à toute une tranche d’âge (en gros les 8-15 ans) de s’adonner aux joies de la lecture alors que leur monde tourne depuis longtemps déjà autour du visuel (TV, jeux vidéos,…), la transposition cinématographique de ses aventures se devait avant tout de contenter les fans de la première heure, ceux qui ont déjà englouti les quatre premiers volumes. Les attirer dans les salles et parvenir à leur faire retrouver les péripéties et l’univers hautement farfelu et coloré des livres, voilà ce à quoi Chris Columbus et son scénariste Steve Kloves (réalisateur de Susie et les Baker Boys !) se sont attelés durant les deux heures trente deux de projection.

Résultat des courses, Harry Potter à l’école des sorciers réussit l’exploit très rare de transposer la quasi intégralité du roman tout en parvenant presque à en garder le substantifique moelle. En se faisant, Columbus s’est assuré des jours paisibles en n’a pas à craindre que certains fans se sentent trahis, le pourchassent ou lui jettent un mauvais sort. Or, le paradoxe reste tout entier dans l’optique choisie par les responsables du projet: en transposant fidèlement le livre, l’objectif est largement atteint mais pour autant cela fait-il de Harry Potter un bon film ?

La réponse est : pas si sûr. La grande faiblesse provient justement de cette trop grande fidélité. Chris Columbus, réalisateur sans génie, fidèle artisan des studios s’est contenté de reprendre souvent à la virgule près les situations phares décrites par Rowling sans jamais chercher à se les accaparer. On a donc souvent le sentiment, qu’on ait lu ou pas le livre, d’assister à un bout à bout des scènes clés, sans que jamais il n’y ait un vrai lien entre elles, sans que l’on ressente une fluidité évidente dans la progression du récit.

Il faut dire que Columbus a du faire face à un problème quasi insoluble : instaurer un climat, présenter des personnages et un univers qui va nous être familier durant de longues années, au fil des sorties des futurs films, tout en parvenant à insérer une intrigue digne de ce nom. Et justement, c’est là où la fidélité à la romancière lui joue un tour. Au cinéma, la faiblesse relative du livre (l’intrigue passait plus au second plan, bouffée par la découverte et la description de cet univers fait de magie et de sorcellerie) prend des proportions bien plus grandes.

L’une des qualités évidentes du livre provient de la méticulosité, de la précision et de l’art de l’écrivain à décrire l’univers de Poudlard, la légendaire école de sorcellerie. Or, grâce à la technologie actuelle et les moyens dont dispose Chris Columbus, la visualisation d’un décor qui pouvait prendre des pages dans le livre se fait ici en quelques secondes. Au delà de l’efficacité des effets spéciaux, on sent alors qu’il manque quelque chose aux scènes, le sentiment qu’une fois son devoir de sage écolier accomplie, l’élève Columbus se dépêche de passer à autre chose. Alors, oui, cela reste d’une immense fidélité au livre mais en se faisant le réalisateur oublie que le charme provenait justement de cette application à détailler les situations. L’illustration montre ici ses cruelles limites. Ainsi sur la corde raide, le film est constamment sur le point de devenir artificiel par manque de magie cinématographique (un comble !). Pourtant, une bonne fée a du se pencher sur le projet puisque avec des hauts (le début est admirable) et des bas (la dernière partie d’ailleurs paradoxalement la moins fidèle au livre, manque de souffle), Harry Potter à l’école des sorciers arrive à rester séduisant.

L’une des grandes forces du film réside dans le choix de son casting. Tous, de Harry Potter et ses deux fidèles compagnons de route, Ron et Hermione, au Professeur Dumbledore (Richard Harris) en passant par le Professeur Rogue (Alan Rickman est né pour jouer les méchants) ou Hagrid (impressionnant Robbie Coltrane) personnifient à merveille leur personnage. Leur crédibilité et le plaisir évident d’interpréter des rôles aussi haut en couleurs tiennent une grande place dans l’identification du spectateur au récit (surtout pour ceux qui auront lu le livre).

L’autre atout de poids vient de la faculté des responsables des effets visuels à donner à l’imaginaire de Rowling. A ce titre, l’arrivée au château (un des plus beaux plans du film), le combat dans les toilettes avec le Troll ou encore le fameux match de Quidditch (un mélange de foot et de basket dans les airs où les joueurs se déplacent au moyen de balais volant) constituent des moments forts réjouissants autant pour le lecteur connaisseur que pour le profane.

Si effectivement, on a l’impression à la sortie de la projection que Columbus est passé à côté de quelque chose de grand, qu’il n’a pas su nous transporter et nous subjuguer (la durée excessivement longue du film joue ici incontestablement en sa défaveur), il faut lui reconnaître le mérite d’avoir cru en son concept, d’avoir réussi à raconter une histoire enfantine (il est bon de rappeler que le film est avant tout destiné aux plus jeunes) au premier degré. Et ce dernier point est à mettre vraiment en exergue tant les productions actuelles privilégient et abusent jusqu’à l’écœurement du second degré, du décalage ou de la parodie. Qu’il est bon enfin de revoir un film, même imparfait, qui croit avant tout à la puissance évocatrice de son histoire, qui pense qu’elle seule peut suffire à captiver son audience. En ce sens, Columbus est parvenu à retrouver une partie de l’essence du cinéma hollywoodien classique, celui qui mise avant tout sa réussite sur son art de la narration. Voilà encore un autre paradoxe de ce décidément indiscipliné Harry Potter : alors que le film pêche par sa structure trop linéaire, trop fidèle au livre, il en tire sa principale force.

On accordera donc à l’entreprise le bénéfice du doute : Harry Potter passe en deuxième année avec la mention passable et l’intime conviction qu’il peut beaucoup mieux faire.

Une très belle réussite pour Harry Potter !

En adaptant pour le grand écran et quasiment mot à mot l’œuvre ‘’enfantine’’ culte et la plus vendue au monde, Chris Colombus pouvait s’attendre aux foudres les plus virulentes des fans et de ses détracteurs. Aujourd’hui, il donne une bonne leçon à tout ceux qui, à l’initiative du projet, aurait préféré un Steven Spielberg (pressenti pour la réalisation du troisième opus) ou encore un Terry Gilliam derrière l’œil de la caméra.

Car le but premier du réalisateur de Mrs Doubtfire n’était pas de faire un film pour lui, mais pour sa fille donc pour les enfants tout en respectant l’œuvre de J. K. Rowling (celles-ci ayant d’ailleurs fortement veillé au grain). Si certains de dire qu’il fut trop respectueux du livre et qu’il en résulte un film sans véritable parti pris ni patte quelconque d’un réalisateur digne de ce nom, Columbus réussit ce pour quoi il a été engagé avec beaucoup de classe et servant ainsi son propos sans privilégier l’effet de caméra (ou autre figure de style), nous livrant (pour une fois) des effets spéciaux (par ailleurs de toute beauté) servant avant tout l’histoire et ne cherchant en aucun cas à faire un étalage d’un savoir faire à la Lucas.

Il en résulte un film doté d’une âme qui nous entraine dans un univers féerique plein de tendresse et d’humour. Certains s’accorderont, en reprochant au film son manque d’intrigues ou de rebondissements dramatiques, mais une nouvelle fois, Colombus et son scénariste ont tenu à rester le plus fidèle possible à l’œuvre originelle.

Ce premier opus n’est en fait qu’une grande présentation de personnages, une galerie de peintures, une prise de connaissance d’un univers dont nous attendons désormais la suite avec la plus grande impatience (actuellement en tournage sous la direction du même réalisateur).

ACTEURS PRINCIPAUX du film Harry Potter

Harry Potter – Daniel Radcliffe
Ronald Weasley – Rupert Grint
Hermione Granger – Emma Watson
Rubeus Hagrid – Robbie Coltrane
Severus Rogue – Alan Rickman
Drago Malefoy – Tom Felton
Albus Dumbledore – Richard Harris
Argus Rusard – David Bradley
Filius Flitwick – Warwick Davis
Minerva MacGonagall – Maggie Smith
Vernon Dursley – Richard Griffiths
Pétunia Dursley – Fiona Shaw
Percy Weasley – Chris Rankin
Molly Weasley – Julie Walters
Sir Nicholas – John Cleese
Quirinus Quirrel – Ian Hart
Mr Ollivander – John Hurt
Rolanda Bibine – Zoë Wanamaker
Le Baron Sanglant – Terence Bayler

Fred Weasley – James Phelps
George Weasley – Oliver Phelps
Ginny Weasley – Bonnie Wright
Neville Londubat – Matthew Lewis
Dean Thomas – Alfred Enoch
Grégory Goyle – Joshua Herdman
Seamus Finnegan – Devon Murray
Vincent Crabbe – James Waylett
Olivier Dubois – Sean Biggerstaff
Dudley Dursley – Harry Melling
Le Moine Gras – Simon Fisher-Becker
Gripsec (Le Gobelin) – Verne Troyer
La Grosse Dame – Nina Young
Lily Potter – Géraldine Sommerville
James Potter – Adrian Rawlins
Lord Voldemort – Richard Bremmer

EQUIPE TECHNIQUE

Directeur de la Photographie – John Seale
Compositeur – John Williams
Monteur – Richard Francis-Bruce
Chef Décorateur – Stuart Craig

SCENARIO & PRODUCTION

Producteur – David Heyman
Producteur Executif – Chris Columbus
Scénario – Steven Kloves
D’après l’Oeuvre de – J.K.Rowling

DISTRIBUTION

Distribué par – Warner Bros France

Date de sortie du film Harry Potter à l’école des Sorciers :

NOVEMBRE 2001

Canada : Vendredi 16 Novembre 2001
Irlande : Vendredi 16 Novembre 2001
Malte : Vendredi 16 Novembre 2001
Taiwan : Vendredi 16 Novembre 2001
Grande-Bretagne : Vendredi 16 Novembre 2001
USA :Vendredi 16 Novembre 2001
Belgique : Mercredi 21 Novembre 2001
Philippines : Mercredi 21 Novembre 2001
Allemagne : Jeudi 22 Novembre 2001
Malaisie : Jeudi 22 Novembre 2001
Pays Bas : Jeudi 22 Novembre 2001
Singapoure : Jeudi 22 Novembre 2001
Suisse-Allemande : Jeudi 22 Novembre 2001
Brésil : Vendredi 23 Novembre 2001
Danemark : Vendredi 23 Novembre 2001
Finlande : Vendredi 23 Novembre 2001
Norvège : Vendredi 23 Novembre 2001
Afrique du Sud : Vendredi 23 Novembre 2001
Suisse : Vendredi 23 Novembre 2001
Argentine : Jeudi 29 Novembre 2001
Chili : Jeudi 29 Novembre 2001
Israel : Jeudi 29 Novembre 2001
Nouvelle-Zélande : Jeudi 29 Novembre 2001
Colombie : Vendredi 30 Novembre 2001
Guatemala : Vendredi 30 Novembre 2001
Grèce : Vendredi 30 Novembre 2001
Islande : Vendredi 30 Novembre 2001
Mexique : Vendredi 30 Novembre 2001
Portugal : Vendredi 30 Novembre 2001
Espagne : Vendredi 30 Novembre 2001

DÉCEMBRE 2001

Japon : Samedi 1er Décembre 2001
France : Mercredi 5 Décembre 2001
Vénézuela : Mercredi 5 Décembre 2001
Italie : Jeudi 6 Décembre 2001
Pérou : Jeudi 6 Décembre 2001
Paname : Vendredi 7 Décembre 2001
Hongrie : Jeudi 13 Décembre 2001
Corée du Sud : Vendredi 14 Décembre 2001
Koweit : Samedi 15 Décembre 2001
Indonésie : Mercredi 19 Décembre 2001
Hong-Kong : Jeudi 20 Décembre 2001
Estonie : Vendredi 21 Décembre 2001
Lituanie : Vendredi 21 Décembre 2001
Croatie : Dimanche 23 Décembre 2001

JANVIER 2002

Egypte : 16 Janvier 2002
Pologne : 18 Janvier 2002

FÉVRIER 2002

Turquie : 1er Février 2002
République Tchèque : 14 Février 2002
Bulgarie : 15 Février 2002

MARS 2002

Russie : 21 Mars 2002

AVRIL 2002

Inde : 12 Avril 2002

LA PREMIÈRE MONDIALE

Ce fût le 4 Novembre 2001 que la Première Mondiale d’Harry Potter à l’école des sorciers eut lieue en plein coeur de Londres au Cinema de l’Odeon sur Leicester Square ! L’avant-Première New-Yorkaise eut lieue le 11 Novembre 2001 au Ziegfeld Theatre. Elle accueillait de nombreux acteurs du film et personnalités Américaines tel Robin Williams !

Harry Potter à l’école des sorciers

Comme c’est le premier mois, nous parlons naturellement du premier film Harry Potter à l’école des sorciers. C’est similaire à ce que Jeremy, Abby et moi avons fait pour notre série Star Wars, mais cette fois nous sommes rejoints par Richard qui est un de mes amis blogueurs. Il a fait une revue détaillée chapitre par chapitre des livres Harry Potter sur son blog, alors j’ai dû l’inclure. C’était si bien de lui parler après avoir lu son blog/tweets pendant des années.

C’était la première fois que je menais une discussion avec 4 personnes, donc j’étais un peu nerveuse à ce sujet. De plus, je ne suis pas un expert Harry Potter, mais je pense que ça a plutôt bien tourné. J’attends avec impatience les prochaines vidéos où j’espère continuer à m’améliorer et je suis très reconnaissant à Abby, Jeremy et Richard d’avoir pris le temps de faire cela avec moi le samedi. C’était vraiment très amusant.

Quoi qu’il en soit, en ce qui concerne le film lui-même, il est charmant à bien des égards, mais en toute honnêteté, il n’a pas tenu aussi bien que je m’en souvenais. Je comprends que Chris Columbus essayait de rester aussi fidèle au livre, mais ce film ne devrait pas durer 2,5 heures. Surtout dans les sections de Quidditch, je me suis trouvé assez ennuyeux.

Aussi Emma Watson et Rupert Grint étaient dans leur premier film avec ce film….et ça se voit. Je déteste le dire. Je suppose qu’ils sont passables en tant qu’enfants acteurs, mais on peut dire qu’ils ne sont pas comme un Jacob Tremblay dans Room. C’est un peu amateur.

Cela dit, l’introduction à Poudlard et au monde magique est très charmante et amusante. Les grands britanniques de la distribution adulte sont tous merveilleux, surtout Alan Rickman en tant que Rogue. Les décors et les décors sont immersifs et amusants et la musique de John Williams, comme prévu, est parfaite.

Ce n’est donc pas un mauvais film, juste un peu plus ennuyeux que dans mes souvenirs.

Que pensez-vous de Harry Potter à l’école des sorciers et que pensez-vous de notre discussion ? Merci !